après les frappes russes d’aujourd’hui : la communauté tunisienne en ukraine mendie
Auteur
Message
Admin Wherever Workers Admin
VIP
1 an anciennetée
Date of creation of the blog : 24/11/2021 Messages : 567 Jours : 2567 Jours échangés : 0 jours Semaines : 0 Semaines échangées : 0 semaines Date d'inscription : 24/11/2021
25022022
après les frappes russes d’aujourd’hui : la communauté tunisienne en ukraine mendie
après les frappes russes d’aujourd’hui : la communauté tunisienne en ukraine mendie
Tarek Alaoui, président de l’Association de la communauté tunisienne en Ukraine, est intervenu sur Feya9'in à la radio FM pour parler de la situation en Ukraine et de la situation des 1 500 membres de la communauté tunisienne après que les forces russes ont lancé une opération militaire spéciale dans le Donbass et frappé des installations militaires ukrainiennes à l’aube jeudi. Alawi a déclaré que les conditions en Ukraine n’étaient pas de bon augure après des frappes sporadiques dans un certain nombre de villes ukrainiennes, en particulier à Odessa, Kharkov et Denbro, où la majorité de la communauté tunisienne est présente, notant qu’il y a moins de tension dans la capitale Kiev et à Dave à la frontière polonaise. Alaoui a souligné qu’il y a un état d’anxiété et de panique parmi les Tunisiens qui ont lancé un appel de détresse pour leur évacuation, en particulier après la fermeture de l’espace aérien et l’annulation des banques pour la liquidité, soulignant qu’ils sont en contact avec le ministère tunisien des Affaires étrangères et l’ambassade de Pologne et qu’il y a une coordination avec l’ambassadeur à Moscou, et que l’État ukrainien a demandé aux Ukrainiens de rester chez eux et de ne pas aller travailler, ajoutant que sous la forme d’autres frappes russes, il sera recouru aux hôpitaux et aux abris à proximité. Al-Alawi a déclaré qu’il n’avait pas entendu parler de morts ou de blessés dans les villes, mais les ambassades d’avertissement ont retenti depuis l’aube, et l’armée et la sécurité ont été partout, tandis que les points de ravitaillement deviennent trop bondés car la majorité envisage de se déplacer vers d’autres villes plus sûres.